Dominique Straus-Kahn et Anne
Sinclair sont bien décidés à ne pas laisser l'affaire en l'état.
Alors que le couple est aujourd'hui séparé, l'un et l'autre ont été aussi
prompts à réagir à la publication prochaine d'un livre écrit par l'essayiste
Marcela Iacub. Dans "Belle et Bête", à paraître le 27 février, cette femme
relate sa liaison avec l'ex-directeur général du Fonds monétaire international
(FMI)
de janvier à août 2012. Sans jamais citer son nom, elle donne toutefois tous les
détails de son aventure avec celui qu'elle appelle " le cochon " ou " le roi des
porcs ". "Les étapes de la liaison, les lieux, les propos rapportés, tout est
vrai. Pour les scènes sexuelles, j'ai été obligée de faire appel au
merveilleux", explique-elle à l'hebdomadaire Le Nouvel Obs qui a publié des
extraits du livre.
Mais DSK ne veut pas en rester là. Dans un courrier adressé à Jean Daniel, un des fondateurs de l'hebdomadaire, il a dit son "dégoût" et fustigé "le comportement d'une femme qui séduit pour écrire un livre, se prévalant de sentiments amoureux pour les exploiter financièrement". "Au-delà du caractère fantasmatique et donc inexact du récit, c'est une atteinte méprisable à ma vie privée et à la dignité humaine", ajoute l'ancien ministre qui dénonce "une opération qui donne la nausée".
"Comment descendre aussi bas dans l'abjection ?" De son côté, Anne Sinclair, présente dans l'ouvrage également de façon anonyme, a dénoncé "un récit trompeur et fielleux de leur entrevue en se livrant à une interprétation diffamatoire et délirante de ses pensées". "Comment, pour des raisons mercantiles, le Nouvel Observateur a-t-il pu descendre aussi bas dans l'abjection ?", affirme-t-elle dans une lettre adressée à Laurent Joffrin, directeur de l'hebdomadaire, et Jérôme Garcin, responsable des pages culturelles.
Dominique Strauss-Kahn et Anne Sinclair se réservent l'un et l'autre le droit de donner, à cette affaire, les suites qui conviennent. Ils pourraient poursuivre l'essayiste Marcela Iacub pour atteinte à la vie privée voire intenter une action en référé pour empêcher la publication de ce livre. Les avocats n'ont pas encore totalement arrêter leur stratégie.
Mais DSK ne veut pas en rester là. Dans un courrier adressé à Jean Daniel, un des fondateurs de l'hebdomadaire, il a dit son "dégoût" et fustigé "le comportement d'une femme qui séduit pour écrire un livre, se prévalant de sentiments amoureux pour les exploiter financièrement". "Au-delà du caractère fantasmatique et donc inexact du récit, c'est une atteinte méprisable à ma vie privée et à la dignité humaine", ajoute l'ancien ministre qui dénonce "une opération qui donne la nausée".
"Comment descendre aussi bas dans l'abjection ?" De son côté, Anne Sinclair, présente dans l'ouvrage également de façon anonyme, a dénoncé "un récit trompeur et fielleux de leur entrevue en se livrant à une interprétation diffamatoire et délirante de ses pensées". "Comment, pour des raisons mercantiles, le Nouvel Observateur a-t-il pu descendre aussi bas dans l'abjection ?", affirme-t-elle dans une lettre adressée à Laurent Joffrin, directeur de l'hebdomadaire, et Jérôme Garcin, responsable des pages culturelles.
Dominique Strauss-Kahn et Anne Sinclair se réservent l'un et l'autre le droit de donner, à cette affaire, les suites qui conviennent. Ils pourraient poursuivre l'essayiste Marcela Iacub pour atteinte à la vie privée voire intenter une action en référé pour empêcher la publication de ce livre. Les avocats n'ont pas encore totalement arrêter leur stratégie.
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