jeudi 18 février 2016

Amiens : une voiture tombe dans la Somme

Mercredi soir, une voiture est tombée dans la Somme à Amiens, les sapeurs-pompiers de la Somme ont engagé de nombreux moyens pour venir en aide aux trois personnes qui étaient à bord du véhicule. 
Hier à 23h30, une voiture s'est retrouvée dans la Somme à hauteur du quai de la passerelle à Amiens .. Les pompiers ont récupéré deux personnes en hypothermie... Elles sont actuellement au CHU...
Les recherches étaient toujours en cours ce matin, les secours recherchent une éventuelle 3ème victime...9 plongeurs sont engagés dans cette opération. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/somme/amiens-une-voiture-tombe-dans-la-somme-931327.html

Choc frontal : une automobiliste grièvement blessée

Une Albigeoise de 41 ans a été grièvement blessée hier matin suite à une violente collision avec un camion à l'entrée de la commune de Castres sur la route d'Albi.
C'est vers 10h30 que l'automobiliste, qui arrivait d'Albi dans sa Renault Clio, un véhicule de service de l'ASEI, qui gère des établissements des personnes en situation de handicap et des personnes dépendantes et fragilisées, a soudainement quitté sa voie de circulation peu après le lieu-dit de La Roseraie sur la D612. La conductrice a-t-elle fait un malaise ? Quelque chose a-t-il détourné son attention ? Toujours est-il que sa voiture a dévié sur la voie inverse au moment où un petit camion d'un transporteur albigeois, arrivait en face. Le chauffeur a bien tenté d'éviter le véhicule qui arrivait sur lui mais en vain. La Renault Clio est venue percuter de plein fouet l'avant du camion. Une automobiliste qui suivait la quadragénaire n'a pas pu freiner à temps et est venue percuter la Renault Clio dans laquelle la conductrice s'est retrouvée prise au piège des tôles. Une dizaine de pompiers de Castres et Labruguière, sous les ordres du capitaine David Olivares, ont dû découper la voiture pour sortir la conductrice, consciente mais victime d'une fracture ouverte importante au niveau du genou. Les médecins du Samu étaient également sur place pour lui prodiguer les premiers soins le temps de l'intervention des secours. Elle a ensuite été évacuée vers l'hôpital de Castres. Le chauffeur légèrement touché au nez à cause de l'airbag de son camion a lui aussi été transporté à l'hôpital pour des examens complémentaires. Quant à l'automobiliste qui arrivait derrière, elle est indemne.
 
Les policiers de la brigade «Accident» du commissariat de Castres se sont rendus sur les lieux de l'accident pour procéder aux premières constatations afin de déterminer les causes exactes de cette collision particulièrement violente. Des agents de la police municipale de Castres ont également été dépêchés sur place pour assurer la sécurisation du lieu de l'accident pendant l'intervention des secours en bloquant la circulation dans les deux sens. Une déviation a été mise en place durant une bonne heure sur cette route trés fréquentée entre Castres et Albi
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/18/2279638-choc-frontal-une-automobiliste-grievement-blessee.html

mercredi 17 février 2016

Canet-en-Roussillon - La femme de ménage trahie par une caméra

C’est l’histoire d’une femme de ménage peu scrupuleuse qui pensait que le système de vidéo surveillance de son employeur avait été débranché.
En décembre, alors que ses employeurs sont en vacances, elle en profite pour tenter d’arrondir ses fins de mois. Elle fait main basse sur... une tirelire qui recèle trois cents euros

Dès son retour de congé la propriétaire légitime de la somme s’aperçoit du vol. Sans plus attendre, elle visionne sa caméra de surveillance. Qui n’était pas hors service. À sa surprise, elle y reconnaît sa femme de ménage en qui elle avait toute confiance.
Mardi, la suspecte a été placée en garde à vue par la gendarmerie. Elle a quitté les lieux munie d’une convocation au tribunal. Une reconnaissance préalable de culpabilité qui l’engage à indemniser la victime. 
http://www.lindependant.fr/2016/02/17/canet-en-roussillon-la-femme-de-menage-trahie-par-une-camera,2158100.php

Rueil-Malmaison : un restaurateur interdit l'accès de son restaurant aux banquiers !

Fâché de ne pas avoir obtenu un crédit, le propriétaire d'un restaurant de Rueil Malmaison (Hauts-de-Seine) a affiché un panneau à l'entrée de son établissement : chiens acceptés, banquiers interdits (sauf droit d'entrée de 70.000 euros), le montant du prêt qu'on lui a refusé.
Le panneau figure à l'entrée de son restaurant "Les Ecuries de Richelieu". Bien visible. "Chiens acceptés, banquiers interdits sauf droit d'entrée de 70.000 euros". Alexandre Callet a choisi la provocation pour dénoncer le refus de crédit dont il a fait l'objet. 70.000 euros, c'est l'argent qui lui manquait pour lancer une deuxième affaire, a-t-il expliqué au Figaro.
Sa première affaire est rentable. Ses premiers emprunts remboursés. Pourtant, rien n'y a fait. Alexandre n'a obtenu qu'une réponse, négative, raconte encore le Figaro. Et du coup, il a abandonné son projet.   "Aujourd'hui, les banquiers ne font pas leur métier", dénonce-t-il, dépité.

mardi 16 février 2016

Arcachon : un homme retrouvé noyé dans sa voiture

La voiture est tombée dans le port, quai Goslar, dans la nuit de lundi à mardi
Un homme de 38 ans, originaire de Gujan-Mestras, a été retrouvé mort, noyé dans sa voiture. Le véhicule a été repêché ce mardi matin dans le port d'Arcachon.
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L'accident a eu lieu la nuit dernière, dans la courbe du quai Goslar. La voiture est allée tout droit, a heurté le parapet et plongé dans le Bassin.
Le commissariat d'Arcachon a ouvert une enquête pour déterminer les causes de cet accident. Une autopsie sera pratiquée.
http://www.sudouest.fr/2016/02/16/port-d-arcachon-un-homme-retrouve-noye-dans-sa-voiture-2275439-2733.php

Percutée par une voiture, la piétonne décède

Une femme de 47 ans a été percutée par une voiture alors qu'elle traversait la chaussée, rue de Wasselonne, à Strasbourg, lundi à 21h20 environ, indiquent les sapeurs-pompiers dans leur compte-rendu d'activité. Très grièvement blessée, elle est décédée sur place.
http://www.dna.fr/actualite/2016/02/16/percutee-par-une-voiture-la-pietonne-decede

Agression : des commerçants inquiets

La semaine dernière, en plein après-midi, un commerçant du quartier Pablo Picasso a été agressé par deux individus suite à une altercation et des injures. Le commerçant a déposé plainte à la gendarmerie. Les coups ont été constatés par un médecin légiste. Le commerçant a mobilisé les commerçants voisins. Ils ont envoyé une lettre au maire : «Ici, on n'est pas en sécurité. Il ne faut pas cacher les problèmes. Certains disent que ça fait sept ans que cela dure. Si je l'avais su avant, je n'aurais peut-être pas repris ce commerce».
Depuis l'agression, le quartier est plus calme : des rondes sont effectuées aux heures de regroupement d'individus, devant la presse et la pharmacie. Dans leur lettre, les commerçants demandent des solutions et en proposent : «Pourquoi ne pas mettre de la video surveillance et aussi de l'éclairage ? Le soir, nous devons allumer une lampe torche pour trouver le trou de la serrure...» Ils réclament également une rencontre avec le maire : «Il est temps de prendre le problème au sérieux. Je ne lâcherai pas, j'irai jusqu'au préfet s'il le faut». Joint par téléphone hier soir, entre deux réunions, Christophe Lubac, maire, a indiqué ne pas avoir encore reçu le courrier et ne pas avoir eu confirmation de l'agression par la gendarmerie. Il attend de prendre connaissance du dossier pour exprimer une position. Mais pour lui, «l'instauration éventuelle de la vidéo-protection nécessite un vrai débat». Il souligne par ailleurs que l'éclairage public sur la place Pablo-Picasso a été refait il y a trois ans environ.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/16/2278298-agression-des-commercants-inquiets.html

Plainte contre la commune après la battue aux pigeons

Le 25 janvier, 80 chasseurs ont procédé à une battue en pleine bastide de Villéral, à la demande de la municpalité. Interdit, dit une association de protection des oiseaux, qui porte plainte pour cruauté envers les animaux.
Les coups de fusil tirés le 25 janvier dernier résonnent encore trois semaines plus tard, mais sur le terrain judiciaire cette fois. Fin janvier en effet, le maire de Villeréal, Pierre-Henri Arnstam, avait pris un arrêté pour autoriser une battue aux pigeons afin d'endiguer la prolifération des volatiles dans la très belle bastide médiévale. 80 chasseurs, issus des sociétés de chasse du Villeréalais, sont convoqués et répartis dans la bastide et alentours. 3200 cartouches, achetées par la mairie, sont distribuées. Objectif : les piegons.

«Interdit de faire usage d'arme en ville»

Terrain de chasse : les rues du village, entre 9 heures et midi. Une solution spectaculaire et radicale, qui n'est pas allée sans protestations, même si des Villeréalais se plaignaient régulièrement des nuisances dues aux volatiles. En attendant une solution plus «douce» (lire ci-dessous), l'association «Nos amis les oiseaux» (NALO), basée dans l'Eure-et-Loir, monte au créneau et a annoncé hier avoir déposé plainte devant le tribunal de grande instance d'Agen, contre la municipalité de Villeréal et contre X, visant ainsi les chasseurs ayant pris part à la battue. La plainte, un document de 13 pages très argumenté et détaillant les articles de lois, s'efforce de démontrer qu'en l'espèce, et pour faire simple, la municipalité de Villeréal a enfreint l'interdiction préfectorale de faire usage d'armes en ville et que de surcroît, la méthode utilisée, en plus d'être illégale, est également répréhensible car constituant un «acte de cruauté envers un animal». Joint hier par téléphone, le président de cette association, Pascal Cousin, explique : «Les maires prennent des arrêtés illégaux et les services de l'état laissent faire. La loi est claire et simple : on ne tire pas avec des armes à feu en ville et en direction des habitations. Aucune dérogation possible, et le maire ne peut sûrement pas se substituer au préfet. La mairie prétend avoir un arrêté préfectoral que personne n'a été capable de me présenter : normal, ça serait illégal, car rien ne le justifie.»

«Les pigeons sont des animaux domestiques»

Le président de l'association de protection des oiseaux proteste également contre le moyen utilisé : «Oui, il faut réguler les populations des pigeons, pour des questions d'hygiène, de santé, de salubrité. Il faut prendre le problème globalement, installer des pigeonniers, pourquoi pas, et surtout empêcher les pigeons de nicher, sous les ponts par exemple, ou les halles. Faire l'un sans l'autre ne sert à rien. Et en tout cas, c'est inadmissible de régler ça par une battue qui ne peut être réservée qu'au gibier. Le pigeon est un animal domestique depuis l'antiquité : on peut le capturer et l'éradiquer en évitant toute souffrance animale. Il y a une règle européenne simple : on ne peut pas organiser de battue sur un animal domestique. C'est interdit. Et ça ne date pas d'hier, on retrouve des arrêts de la cour correctionnelle datant du XIXe siècle qui le disent déjà, pour des poules notamment.» Pascal Cousin précise : «Je n'attaque pas une commune par plaisir, mais pour que les élus respectent la loi et que ceux qui seraient tentés de faire de même ne le fassent pas.» L'histoire ne dit pas pour l'heure si la justice va donner suite.
 

lundi 15 février 2016

Un enfant de 6 ans décède dans l'espace de jeu d'un McDo à Hyères

Le McDonald's du centre de Hyères a du fermer ses portes ce dimanche suite au décès d'un enfant, retrouvé inconscient dans l'espace jeu du fast-food. Le petit garçon souffrait une maladie congénitale
Les pompiers de Hyères n'ont rien pu faire. Un enfant de six ans a été retrouvé inconscient dans l'aire de jeu, situé au premier étage du restaurant McDonald's du centre-ville. L'établissement a du fermer ses portes pour la journée.

Selon le substitut du Procureur de la République de Toulon, le petit garçon serait décédé d'un problème cardiaque liée à une maladie congénitale.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/var/hyeres/un-enfant-de-6-ans-decede-dans-l-espace-de-jeu-d-un-mcdo-hyeres-928571.html

Pays basque : une voiture tombe dans le canal

L'accident a eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi à Lahonce
Les sapeurs-pompiers ont été appelés dans la nuit de dimanche à lundi, vers minuit, pour une intervention sur le D 261 sur la commune de Lahonce.
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Une voiture, avec quatre personnes à son bord - un père de famille de Saint-Palais âgé de 35 ans et ses trois enfants de 3,5 et 7 ans - circulant dans le sens Bayonne-Lahonce, venait de tomber dans un canal perpendiculaire à la départementale 261, alimentant l'Adour et le lac d'Arbeou.
Une enquête ouverte
A l'arrivée des pompiers, les quatre occupants étaient heureusement parvenus à s'extraire du véhicule et à rejoindre la rive. Un autre automobiliste, résidant à Lahonce et âgé de 35 ans, qui suivait le véhicule, s'est arrêté lorsqu'il a vu l'accident et a porté secours au père et ses enfants. 
Les quatre victimes ont été prises en charge par les pompiers d'Urt et d'Anglet, dépêchés sur place, et transportées pour des contrôles vers le centre hospitalier de Bayonne. 
La gendarmerie a ouvert une enquête.
http://www.sudouest.fr/2016/02/15/pays-basque-une-voiture-tombe-dans-l-adour-2274139-4209.php

Koweitien braqué : lourdes charges contre des Toulousains

Comment une Toulousaine de 32 ans, mère de deux enfants, peut-elle se retrouver au cœur d'une affaire de braquage peu ordinaire commis au préjudice du richissime petit État du Golfe, le Koweit ?
Depuis samedi, cette femme, sans antécédent judiciaire, est mise en examen par un juge parisien pour «association de malfaiteurs en vue de commettre un crime», «vol avec arme» et «complicité de vol avec arme.» Une double qualification criminelle susceptible de renvoyer cette habitante de Muret vers une cour d'assises. Elle est désormais écrouée à la prison de Fleury-Mérogis. Son compagnon, Gaël, 41 ans est lui aussi accusé des mêmes faits. Tout comme une amie de Morgane, Laura, 28 ans, placée sous contrôle judiciaire.

Faits contestés

Ce trio de Toulousains est soupçonné d'avoir joué un rôle plus ou moins déterminant dans un braquage commis le 22 juillet 2015, à Paris, au préjudice d'un représentant de l'ambassade du Koweit . Ce jour-là, ce Koweitien est en possession d'une sacoche contenant 100 000€. Une somme qu'il vient de retirer dans une banque, non loin des Champs-Elysées. En montant dans sa voiture avec chauffeur, il est attaqué par un homme qui sort une bombe lacrymogène et s'empare du butin. Le voleur est très vite rattrapé et l'argent aussitôt retrouvé. Le braqueur fait des premiers aveux lapidaires, déclarant avoir agi sous les ordres «des gens de Toulouse
La semaine dernière, les enquêteurs de la PJ parisienne ont donc interpellé Morgane, son compagnon Gaël et Laura, une amie. Tous ont fait l'objet d'un mandat d'amener et ont été transférés à Paris, vendredi, pour être entendus par le juge d'instruction. Selon l'enquête, de lourdes charges pèseraient sur Morgane et son copain, accusés d'avoir minutieusement préparé le vol à main armée.

«fuite» dans l'entourage de l'ambassade ?

«Ma cliente conteste toutes ces accusations et ignorait tout de ce braquage», déclare son avocat, Me Nicolas Raynaud de Lage qui a fait appel du placement en détention de sa cliente. Après plusieurs mois passé en prison, le braqueur interpellé a été remis en liberté sous contrôle judiciaire, il y a quelque temps. Cet homme serait une connaissance de Gaël, lui-même décrit par les enquêteurs comme le supposé «instigateur» de cette attaque ratée. Par ailleurs, Morgane aurait hébergé durant plusieurs mois, début 2015, un homme connu de la justice, également ami de Gaël dont des contacts auraient été établis avec un proche de l'ambassade du Koweit dont le rôle, dans toute cette affaire, reste très énigmatique.
Peu de temps avant les faits, les enquêteurs auraient acquis la certitude qu'une partie de cette petite troupe se trouvait non loin des lieux du braquage, effectuant plusieurs allées et venues «troublantes». Reste que le casting de ce vol avorté n'a rien à voir avec le grand banditisme. Et tout laisse à penser que les suspects auraient bénéficié d'un «tuyau» avant de passer à l'action. Y aurait-il eu une fuite dans l'entourage de l'ambassade du Koweit ? Et dans quelles circonstances ces précieux renseignements seraient arrivés jusqu'aux oreilles des suspects ? Des questions qui se posent encore.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/15/2277444-koweitien-braque-lourdes-charges-contre-des-toulousains.html

Auvergne : elle laisse sa fille et va en boîte

Samedi matin, les pompiers et les policiers de Clermond-Ferrand ont retrouvé vers 5 heures une petite fille de 3 ans seule chez elle dans un appartement du quartier de Saint-Jacques, rapporte La Montagne. C'est la voisine, alertée par les cris de la fillette, qui a alerté les secours.
Arrivée peu après sur place, la mère de 23 ans a d'abord expliqué avoir été victime d'un enlèvement et d'une agression. Elle a ensuite reconnu avoir laissé sa fille seule dans l'appartement pour partir en boîte avec un ami, deux heures plus tôt.

Elle fera l'objet d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité. La fillette a quant à elle été placée en foyer.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

dimanche 14 février 2016

Deux individus braquent le supermarché Aldi de Maubeuge

Samedi 13 février vers 18h40, deux individus cagoulés et munis d'armes de poing ont braqué le supermarché Aldi de Maubeuge, situé rue Montplaisir.

Il n'y a pas eu de coup de feu tiré, ni de blessé. Néanmoins, les deux malfaiteurs ont exhibé des armes de poing pour se faire remettre le fonds de caisse de 500 euros, a-t-on appris de source policière.

Les deux voleurs se sont enfuis à pied, après leur larcin

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/deux-individus-braquent-le-supermarche-aldi-de-maubeuge-928249.html

Nîmes: Le cadavre d'une femme découvert dans un canapé clic-clac

C’est une terrifiante découverte qu’on fait les policiers cette nuit, vers 1 h du matin, près des arènes de Nîmes : le cadavre d’une femme, le visage tuméfié, a été retrouvé dissimulé dans la banquette d’un canapé clic-clac, dans un appartement, révèle Infos-H24.
Les policiers ont suivi les indications de deux piétons, visiblement ivres, qui les ont conduits vers un logement, où se trouvait la scène macabre. Il s’agit, selon le site d’actualité, de l’appartement de l’un des deux Gardois.
Les deux hommes, qui ont été placés en garde à vue, nient toute implication. Ils assurent qu’ils ne connaissent pas la victime. Le propriétaire de l’appartement note qu’il n’est pas retourné chez lui depuis quelques jours.
http://www.20minutes.fr/montpellier/1786315-20160214-nimes-cadavre-femme-decouvert-canape-clic-clac

Le poids lourd se renverse sur la chaussée

Hier, un accident impliquant un poids lourd s'est produit sur la RD 6 009 à proximité de Lapalme. Il était 17 heures environ lorsqu'un automobiliste a signalé aux autorités un camion roulant en zigzag. Ce convoi remontait la voie de circulation depuis Perpignan. Des patrouilles ont été engagées afin d'intercepter le camion au rond-point de Lapalme. Malheureusement, quelques kilomètres avant, le poids lourd s'est couché sur la chaussée. Le conducteur blessé et positif à l'alcool a été évacué sur Narbonne. La circulation a été réduite sur une voie pendant 5 à 6 heures pour évacuer le poids lourd.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/14/2277039-le-poids-lourd-se-renverse-sur-la-chaussee.html#84XtoRG51ED4Xtyd.99
 

Un blessé grave dans un accident de la route à Villemur-sur-Tarn

Un automobiliste de 35 ans a été grièvement blessé dans un accident de la route, hier, peu avant 2 heures du matin, à Villemur-sur-Tarn, sur le CD 32, au Nord de Toulouse. Après une sortie de route, la voiture du conducteur a percuté un pylône de France Telecom avant de terminer sa course sur le toit. Blessé aux cervicales et au bassin, l'automobiliste a été secouru par les médecins du Samu et les pompiers avant d'être transporté au CHU Purpan dans un état jugé sérieux. Le passager avant est légèrement blessé.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/14/2277021-blesse-grave-accident-route-villemur-tarn.html

samedi 13 février 2016

Accidents en série dans le Gard la nuit dernière

3 accidents graves de la circulation se sont produits dans le Gard la nuit dernière. Vers une heure et demie du matin, à Jonquières Saint-Vincent, sur la D999, 16 sapeurs pompiers ont tenté de porter secours aux personnes impliquées dans une collision entre une moto et une voiture. Malheureusement, le motard, âgé de 52 ans, est décédé. Le conducteur du véhicule, légèrement blessé, a été transporté vers le CHU de Nîmes.

Intervention toute la nuit sur l'A9

Auparavant, une douzaine de sapeurs pompiers ont été engagés une bonne partie de la soirée et de la nuit sur une autre série d'accidents, entre 19 heures 30 et 3 heures du matin, sur l'autoroute A9, à hauteur de Fournès, peu avant la sortie Remoulins, dans le sens Montpellier/Orange. Là, un premier accident s’est d'abord produit, mettant en cause un véhicule léger, sans faire de blessé.

Suraccident

Mais avant l’arrivée des secours, un 2ème accident est intervenu non loin de là, entre 3 voitures et un poids lourd et impliquant 7 personnes. 3 d'entre elles ont été blessées légèrement et prises en charge par les secours, qui les ont évacuées vers le CHU de Nîmes.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/gard/accidents-en-serie-dans-le-gard-la-nuit-derniere-927829.html

Deux blessés graves dans une collision à Saint-Papoul

Deux véhicules sont entrés en collision, hier, peu après 17 heures, sur la RD 103 entre Saint-Papoul et Castelnaudary, au niveau pont du Fresquel. Les pompiers de la cité chaurienne, épaulés par d'autres unités venues en renfort ainsi qu'une équipe médicale du SMUR, ont dû procéder à la désincarcération des deux blessés, âgés de 87 et 89 ans, prisonniers de l'habitacle de leur voiture. Si l'une des deux victimes a été évacuée sur le centre hospitalier de Carcassonne, la seconde a été héliportée jusqu'à Toulouse
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/13/2276060-deux-blesses-graves-dans-une-collision-a-saint-papoul.html#ZOFruTYSRCrq9Te1.99
 

Braquage et vent de panique au casino d'Aix-en-Provence

P lusieurs individus armés ont fait irruption dans la nuit de vendredi à samedi au casino d'Aix-en-Provence, créant la panique parmi les clients présents dont une quinzaine ont été blessés légèrement, avant de prendre la fuite avec la caisse.
Vers 2 h, alors que l'établissement Pasino, à l'entrée sud de la ville, était en pleine activité avec des centaines de clients présents, des hommes armés ont pénétré dans l'établissement et se sont dirigés vers la caisse. Ils ont tiré avec des fusils AK47 (kalachnikov) vers une verrière sans faire de blessés.
Toutefois, dans la panique, une quinzaine de personnes ont été blessées légèrement ou choquées, selon les pompiers qui sont intervenus ensuite. "Ce sont des blessures très légères voire superficielles", a précisé un porte-parole des pompiers des Bouches-du-Rhône. Les hommes armés, en nombre indéterminé, se sont emparés de la caisse sous la menace de leurs armes, et ont pris la fuite, a-t-on ajouté de source policière. Le montant du butin n'a pas été précisé. La PJ a été chargée de l'enquête.

Braqué deux fois en 2011

Le "Pasino" d'Aix, avait déjà été la cible de braquages à deux reprises en 2011: une première fois dans la nuit du 17 au 18 avril, au cours duquel une somme de 100 000 euros avait été volée en quelques minutes par un commando lourdement armé. Puis dans la nuit du 25 au 26 juin 2011, une deuxième attaque, par un commando de cinq braqueurs cagoulés, vêtus de treillis kakis et armés de kalachnikov, avait fait un blessé parmi des policiers de la Bac appelés pour tenter de déjouer l'attaque. Un butin avait aussi été dérobé.
Propriété du groupe Partouche, le Pasino d'Aix, qui compte notamment 300 machines à sous, est ouvert depuis 15 ans.

http://www.midilibre.fr/2016/02/13/braquage-et-vent-de-panique-au-casino-d-aix-en-provence,1285794.php

vendredi 12 février 2016

Un homme happé par un train

Police et pompiers ont été alertés à 8h15, ce vendredi matin, après la découverte d’un corps démembré près des lignes de chemin de fer, à proximité de la gare de Bourgoin-Jallieu (38). Selon les enquêteurs, il s’agirait d’un suicide, qui se serait produit vers 5h40 du matin, sur la voie de fret, et qui serait dans un premier temps passé inaperçu. L’identité de la victime n’a pas encore été établie. L’homme n’avait pas de papiers sur lui. Il serait âgé d’une cinquantaine d’années.
La ligne entre Bourgoin-Jallieu et Saint-André-le-Gaz a été coupée, pour que l'identification criminelle puisse travailler. Conséquence, une vingtaine de TER et 6 TGV ont été impactés, soit près de 2.000 passagers. Le trafic est revenu à la normale un peu avant 10 heures.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2016/02/12/un-homme-happe-par-un-train

L'assassin présumé du Parc du Verney à Chambéry mis en examen

Les faits se sont produits le 21 mai 2015. Le corps d'un homme d'une cinquantaine d'années était retrouvé en plein centre-ville de Chambéry, dans le parc du Verney. Deux agents municipaux étaient tombés sur le cadavre qui présentait plusieurs plaies à l'arme blanche.

La victime avait été identifiée, mais le coupable restait introuvable. C'est grâce à un rapprochement que la Police Judiciaire l'a finalement interpellé lundi. Le suspect avait été arrêté pour violences dans des circonstances similaires fin 2015. C'est le mode opératoire et l'utilisation d'un couteau dans les deux cas, qui ont alerté les enquêteurs.

L'homme était donc déjà placé sous contrôle judiciaire lorsque le rapprochement a été établi.

Le suspect a rapidement reconnu les faits, expliquant qu"'il voulait tuer". Il ne connaissait pas la victime, mais s'en est pris à lui dans le parc dans l'intention de lui donner la mort. La préméditation a donc été retenue, il a été mis en examen pour assassinat et placé sous mandat de dépôt.

Le jeune homme est étudiant et vivait à Chambéry au moment des faits. Jusqu'alors il n'était pas connu des autorités, et n'avait pas de casier.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/chambery/l-assassin-presume-du-parc-du-verney-chambery-mis-en-examen-927075.html

Landes : sa spécialité, le vol des tirelires dédiées aux pourboires

Pris en flagrant délit mercredi, il sera jugé ce vendredi matin
Les policiers le connaissent bien. « C'est simple, vous pouvez le suivre tous les jours et vous le verrez à chaque fois tenter d'ouvrir les portières de voiture », rapportait-on, jeudi soir, au commissariat de Mont-de-Marsan. Il a 25 ans, n'est pas du genre méchant, mais il n'a pas de domicile fixe, pas de travail, et il ne peut pas s'empêcher de tenter de chaparder.
Les policiers l'ont attrapé mercredi en flagrant délit, alors qu'il venait de s'enfuir du restaurant un Air de campagne avec sous le bras la tirelire destinée aux pourboires des salariés.
Son interpellation a permis de le confondre pour d'autres passages à l'acte. Il avait agi de la même manière dans un salon de coiffure de la ville, emportant quelques piécettes restées près de la caisse enregistreuse. Les policiers évoquent une tentative identique à la pharmacie Dufourniaud. Mais aussi un vol de carte bancaire suivi de multiples tentatives d'achat dans des commerces montois avec, chaque fois, le privilège d'être filmé par les caméras de vidéoprotection.
http://www.sudouest.fr/2016/02/12/landes-sa-specialite-le-vol-des-tierlires-dediees-aux-pourboires-2271886-3452.php

Innocent en liquidation judiciaire

La rumeur a circulé comme une traînée de poudre dans le Couserans. Bien implantée à l'ouest de l'Ariège, l'entreprise de transports Innocent a été placée en liquidation judiciaire. Une décision prononcée par le tribunal de commerce de Foix, le 18 janvier dernier. Propriété de la société appaméenne Setak, le sort de l'ancienne structure familiale semblait en suspens depuis juillet 2015 et son placement en redressement judiciaire. Prise en concertation avec le conseil d'administration de la maison mère, la décision de mettre un terme aux activités touche 14 salariés. La moitié d'entre eux a d'ores et déjà accepté un reclassement au sein du groupe. Pour ceux n'ayant pas donné de réponse, la procédure menée par un mandataire et Pôle Emploi court jusqu'au 20 février. Rachetée dans le courant de l'année 2013 par Setak, la société couseranaise avait bénéficié d'un investissement financier d'1,2 million d'euros, dont 900 000 rien que pour le renouvellement de la flotte de véhicules. Victime de la concurrence des transporteurs low-cost, elle avait vu son carnet d'adresses fondre mois après mois
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/12/2275856-innocent-en-liquidation-judiciaire.html

jeudi 11 février 2016

Saint-Magne-de-Castillon (33) : un pompier grièvement blessé dans un accident

Un pompier volontaire de 22 ans a été très grièvement blessé ce jeudi matin dans une collision sur la départementale 936
Ce jeudi matin, vers 7h30, un accident s'est produit sur la départementale 936, sur la commune de Saint-Magne-de-Castillon, non loin de Saint-Pey d'Armens. Pour une raison encore indéterminée, une voiture appartenant au Sdis est venu percuter une camionnette arrivant en face.
A l'intérieur de la voiture, un sapeur-pompier volontaire de 22 ans de Sainte-Foy-la-Grande a été très grièvement blessé dans le choc. Plusieurs heures ont été nécessaires pour le désincarcérer. Vers 11 heures, il a été transporté vers le centre hospitalier Robert-Boulin.
Dans l'autre véhicule, le conducteur, un Girondin âgé d'une cinquantaine d'années, a été légèrement blessé et conduit également à l'hôpital de Libourne.
http://www.sudouest.fr/2016/02/11/saint-magne-de-castillon-un-pompier-grievement-blesse-dans-un-accident-2270858-2966.php

Charente-Maritime: Un très grave accident de bus scolaire fait au moins six morts

Terrible accident de la route en Charente-Maritime. Au moins six adolescents sont morts ce jeudi matin dans la collision de leur bus scolaire avec un camion, sur la commune de Rochefort. Le drame se serait produit tôt, vers 7h15. Le véhicule faisait la liaison entre l’île d’Oléron et Surgères. Il y aurait au moins trois blessés graves. Le plan Novi, pour les accidents faisant de nombreuses victimes, a été activé.

Najat Vallaud-Belkacem sur place ce matin

D’après France Bleu, Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l’Education, et Ségolène Royal, ministre et ancienne présidente de la région Poitou-Charentes, se rendront sur place vers 10h. Dominique Bussereau, président du conseil départemental, est également attendu sur place. Alain Vidalies, le secrétaire d'Etat aux Transports a déjà dit sa « tristesse»
"Effroi et très grande tristesse face au terrible accident de car scolaire à Rochefort. Toutes mes pensées vont aux proches et aux familles."

Cet accident survient alors qu’un terrible drame a eu lieu mercredi, avec deux adolescents

http://www.20minutes.fr/dossier/charente-maritime

Deux blessés graves à Saint-Gaudéric

Mardi en fin d'après-midi, une voiture circulant sur le chemin départemental 119 (la route qui va de Mirepoix à Carcassonne) a fait une embardée sur la commune de Saint-Gaudéric au lieu dit «Roumégas». Les circonstances de l'accident seront déterminées par les gendarmes de la communauté de brigades de Bram qui ont ouvert une enquête. Il semblerait que le véhicule roulait dans le sens Mirepoix-Carcassonne et qu'il pleuvait abondamment au moment de l'accident, du fait de la tempête baptisée Susanna qui a traversé le pays d'ouest en est ce jour-là. Dans le véhicule il y avait deux personnes à bord qui ont été secourues par les pompiers venus sur les lieux avec d'importants moyens : trois ambulances de Bram, Mirepoix et Montréal, un véhicule de secours routier pour désincarcérer les occupants, une équipe du Smur de Castelnaudary. Grièvement blessés, les deux victimes, domiciliées dans la région, ont été évacuées vers le centre hospitalier de Carcassonne.
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/11/2275061-deux-blesses-graves-a-saint-gauderic.html#YfQVjVSm3ib50jJy.99
 

mercredi 10 février 2016

Plourivo (22) : une femme soupçonnée d'avoir tué son bébé de 16 mois

Le drame se serait produit en début de matinée. Les gendarmes ont été alertés peu avant 10h par une riveraine qui avait vu une femme déambuler avec les poignets en sang. Les premiers éléments de l'enquête laisse penser que cette mère de famille aurait tué le plus jeune de ses cinq enfants au domicile familial route de Coat Bruc, dans le quartier de Penhoat à Plourivo dans les Côtes-d'Armor.
La femme de 33 ans était vraisemblablement seule au moment des faits. Deux autres de ses enfants et le père du bébé dormaient encore, dans un autre bâtiment de la maison, lorsque les gendarmes sont arrivés. La mère de famille aurait tenté de porter atteinte à ses jours après son acte. Elle a été hospitalisée au centre hospitalier en santé mentale de Bégard (22).

Les gendarmes de la compagnie de Lannion, les enquêteurs de la section de recherche de Rennes et ceux de la cellule d'investigation criminelle du groupement de Saint-Brieuc ont passé une bonne partie de la journée sur place. Le vice-procureur de la république de Saint-Brieuc s'est également rendu sur les lieux du drame.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/plourivo-22-une-femme-soupconnee-d-avoir-tue-son-bebe-de-16-mois-924769.html

Un homme rejugé à Albi pour enlèvement, séquestration et extorsion

C'est une affaire toulousaine qui sera jugée en appel par la cour d'assises du Tarn, à partir d'aujourd'hui et jusqu'à vendredi. Noël Pommies, 36 ans, d'Auch, condamné à 15 ans de réclusion criminelle pour enlèvement, séquestration et extorsion avec arme ,a fait appel de la décision de la cour d'assises de la Haute-Garonne.Flavien Valeri, 25 ans, de Lavaur, accusé de complicité d'extorsion avec une arme, avait été acquitté par la même cour d'assises. Mais le parquet général a fait appel. C'est pourquoi on le retrouve aux côtés de Noël Pommies.
Le 17 janvier 2012, un individu, visage dissimulé par un bas, pénètre dans une maison d'habitation avec un fusil. Il ligote le père de famille et son fils de 10 ans. Il en voulait à l'argent du magasin Intermarché de Buzet-sur-Tarn que le père de famille gère avec son épouse. Lorsque cette dernière arrive, l'agresseur se fait conduire au magasin où il s'empare d'une somme de 5 000 à 7 000 €. Le neveu de Noël Pommies, qui avait travaillé à Intermarché, est soupçonné d'avoir été au courant du braquage et de n'avoir rien dit. Ce qu'il nie. Il sera défendu par M e Frédéric David. Noël Pommies est représenté par Me Thierry Sagardoytho. Me Emmanuelle Franck représente la partie civile, la famille prise en otage
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/10/2274264-un-homme-rejuge-a-albi-pour-enlevement-sequestration-et-extorsion.html

mardi 9 février 2016

Menaces sur des lycées parisiens : un jeune suspect arrêté à Dijon

Un jeune homme de 18 ans a été interpellé ce lundi près de Dijon dans le cadre de l’enquête sur des appels téléphoniques anonymes menaçant des lycées parisiens fin janvier et début février. Les investigations techniques menées par l’Office central de lutte contre la cybercriminalité (OCLCTIC) ont mené les policiers à l’adresse IP (numéro d’identification de la connexion internet) de cet adolescent.
La garde à vue du jeune homme a débuté lundi vers 6 heures du matin dans les locaux de la Sûreté territoriale de Paris et devrait se poursuivre ce mardi. « L’enquête cherche à établir s’il y a un lien entre les appels visant des lycées parisiens et les menaces contre des établissements de province. Rien n’est exclu », a expliqué une source judiciaire. « Son rôle éventuel dans cette affaire reste encore à déterminer », a-t-elle ajouté, précisant que « du matériel informatique avait été saisi ».

« Ce n’est pas un nuisible »

Interrogé par France Info, le père du jeune homme a fait savoir son étonnement. « Les policiers sont intervenus rapidement, ils ont trouvé la chambre de mon fils et nous ont dit qu’ils intervenaient pour complicité de menace de biens et de personnes. J’étais sur le cul. Ce n’est pas un nuisible. Peut-être un révolté, il a certaines idées sur la société, mais de là à aller mettre une bombe dans un lycée, non ce n’est pas du tout son genre. Il navigue sur des sites internationaux, comme Anonymous, mais il ne nuirait à personne », a-t-il expliqué.
Pour rappel, lundi 1er février, pour la troisième fois, des lycées et des collèges français, notamment parisiens et lyonnais, et britanniques, ont reçu des menaces anonymes par téléphone, évoquant la présence de bombes dans les établissements concernés. Ces nombreux appels avaient à chaque fois entraîné la mise à l’abri des élèves et la mise en place de périmètres de sécurité autour des bâtiments. Ce scénario qui se répète depuis plusieurs jours survient dans un contexte de menace terroriste très élevée

http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/09/2273613-menaces-lycees-parisiens-jeune-suspect-arrete-dijon.html

lundi 8 février 2016

Homicide. Le corps d'une femme retrouvé dans un champ à Saint-Pierre-d'Alvey, en Savoie

Une femme, âgée de 53 ans, a été retrouvée morte dans la nuit du dimanche 7 au lundi 8 février, dans les environs de Novalaise, à Saint-Pierre-d'Alvey (Savoie). Son conjoint, arrêté après un accident au volant de sa Porsche sur l'A40, en Haute-Savoie, aurait avoué l’homicide.
D'après les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait d'un drame familial. Le couple, originaire de l'Isère, était en instance de divorce. L'homme, âgé de 44 ans, n'aurait pas supporté la séparation. Il aurait étranglé sa femme avant de se débarrasser du corps au fond d'un champ, en bordure de forêt au lieu dit "Le Carrel", à Saint-Pierre-d'Alvey, non loin du lieu de résidence de ses parents.

Selon le
Dauphiné Libéré, qui a révélé l'affaire, le corps était enroulé "dans un tapis". Il a été découvert vers 23 heures dimanche. Une autopsie aura lieu mardi.

Le meurtrier présumé a, lui, été retrouvé à Saint-Julien-en-Genevois, en Haute-Savoie. Selon nos informations, il a été repéré lors d'un accident de la circulation sur l'autoroute A40. Blessé et hospitalisé à Saint-Julien, l'homme aurait finalement avoué l'homicide. Il était, semble-t-il, sous l'emprise de médicaments au moment de l'accident. Placé en garde à vue, il est entendu par les gendarmes de la Section de recherches de Chambéry.

Le couple habitait depuis 22 ans à Vézeronce-Curtin, en Isère. Olivier et Fabienne Bizolon s'étaient présentés aux élections départementales. Après avoir été chefs d'entreprise dans le domaine de la chaussure à Lyon, ils étaient depuis dans la gestion de patrimoine.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/le-corps-d-une-femme-retrouve-pres-de-novalaise-en-savoie-923389.html

Armé d'une matraque et d'un couteau en pleine ville

Un jeune homme de 19 ans a été jugé vendredi par le tribunal correctionnel de Toulouse pour port d'arme prohibé. Jeudi, vers 6 heures, la police municipale a été informée qu'un individu se baladait à la gare Matabiau à Toulouse, armé d'une matraque télescopique.
Plus tôt dans la soirée, ce jeune homme aurait été aperçu en train de menacer deux individus sur la place du Capitole avec cette même matraque. L'individu a été finalement interpellé boulevard Bonrepos à Toulouse.
Sur lui a également été retrouvé un couteau. «Je suis en danger, je suis menacé par des gens du voyage», explique le jeune garçon à la barre. Pour le procureur Grellet, «les violences à coups de couteau sont trop récurrentes à Toulouse». Six mois de prison avec sursis sont requis.
Me Patureaux, avocat du jeune homme, rappelle le casier judiciaire vierge de son client, «qui n'est pas quelqu'un qui cherche la bagarre mais qui porte des armes pour se défendre». Le tribunal a condamné le jeune homme à un mois de prison avec sursis.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/08/2272658-arme-matraque-couteau-pleine-ville.html

dimanche 7 février 2016

Saint-Germain-des-Fossés : la compagne de la victime reconnaît avoir tué la victime par arme blanche

La compagne de la victime a été auditionnée et déférée devant le juge d'instruction de Cusset samedi. Après avoir reconnu qu'elle avait porté le coup de couteau ayant mortellement blessé son compagnon jeudi soir, elle a été mise en examen pour homicide volontaire.

Âgée de 39 ans, la compagne de la victime a ensuite été placée en détention provisoire par la juge des libertés et de la détention. Elle risque jusqu'à 20 ans de prison.

C'est elle qui avait alerté les secours peu avant 20h le soir de l'agression au lieu-dit Bourzat, près de Saint-Germain-des-Fossés. 
L'homme de 35 ans, toujours en vie à l'arrivée du Samu et des pompiers, avait succombé à ses blessures causées par l'arme blanche quelques instants plus tard.

Une quinzaine de gendarmes et des techniciens en identification criminelle s'étaient rendus sur place pour procéder aux premières constatations et effectuer des perquisitions dans l'habitation avait indiqué la compagnie de gendarmerie de Vichy. L'arme blanche, ayant entraîné la mort de la victime, avait été saisie.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/saint-germain-des-fosses-la-compagne-de-la-victime-reconnait-avoir-porte-le-coup-de-couteau-922943.html

Nancy: Pour éviter la vente aux enchères de ses bijoux, elle déclenche une alerte à la bombe

Ce geste désespéré lui a valu, vendredi, une peine de quatre mois d’emprisonnement avec sursis et 140 heures de travail d’intérêt général. Une quinquagénaire mère de trois enfants, inquiète à l’idée de voir ses bijoux de famille vendus aux enchères de Nancy, avait déclenché une alerte à la bombe pour en empêcher la vente.
Cliente du Crédit Municipal, où elle avait contracté un prêt de 1.200 euros qu’elle n’était pas parvenue à rembourser, et au chômage depuis octobre, elle avait été contrainte de mettre des bijoux de famille en gage.

Le quartier bouclé, les ventes annulées

« J’ai voulu empêcher la vente de mes bijoux », a-t-elle concédé à la barre pour expliquer la série d’appels qu’elle a passés ce jour-là à la salle des ventes pour l’informer qu’elle y avait déposé des bombes.
Le bâtiment avait été évacué et le quartier bouclé. « Ce geste a eu pour conséquence l’annulation des ventes prévues ce qui a entraîné des pertes sèches et un manque à gagner », a déploré l’avocat des parties civiles, Me Patrice Buisson
http://www.20minutes.fr/strasbourg/1781639-20160207-nancy-eviter-vente-encheres-bijoux-declenche-alerte-bombe

Vol de cocaïne au quai des Orfèvres : un indic écroué

Il avait pris la fuite peu après le vol de 52 kilos de cocaïne au 36, quai des Orfèvres : un «indic» surnommé «Robert» a finalement été écroué, livrant aux enquêteurs des éléments susceptibles d'accabler un peu plus encore le policier qui fait figure de principal suspect. Cet homme de 34 ans était un informateur de Jonathan Guyot, le policier en poste depuis 2010 à la brigade des stupéfiants de la PJ parisienne soupçonné d'avoir volé la cocaïne dans des scellés la nuit du 24 au 25 juillet 2014. Considéré par les enquêteurs comme un personnage-clé du dossier, il pourrait être, selon une source proche de l'enquête, le complice qui a aidé Guyot à transporter la marchandise une fois sortie des locaux de la police judiciaire. En fuite depuis l'été 2014, il s'est finalement rendu et a été mis en examen pour trafic de stupéfiants, blanchiment en bande organisée et recel de détournement et soustraction de biens par personne dépositaire de l'autorité publique. «Robert» a nié avoir reçu la cocaïne, d'une valeur estimée à deux millions d'euros à la revente et qui reste introuvable.
Mais son récit semble accréditer la thèse selon laquelle Jonathan Guyot, lui-même arrêté le 2 août 2014, mis en examen et toujours en détention provisoire, n'en était pas à son coup d'essai. L'ex-brigadier, 34 ans, qui nie avoir volé la cocaïne et a tenté de se suicider en prison, est en effet soupçonné d'être impliqué dans un trafic de drogue plus vaste, avec plusieurs de ses collègues, alimenté par de la marchandise volée lors de perquisitions ou dans des scellés. Or son ancien «indic» a reconnu avoir reçu d'importantes quantités de cannabis de Guyot, selon une source proche de l'enquête. «Robert» a expliqué aux policiers qu'il était en contact avec Jonathan Guyot sur un trafic de cannabis important. Pour l'avocat de Guyot, Bertrand Burman, «la démarche de cet «indic» est tout de même très particulière». «Il se rend après un an et demi, je ne sais pas à l'heure actuelle dans quelles conditions. Ça sort un peu du chapeau. Il dit que Guyot lui aurait vendu une centaine de kilogrammes de cannabis. C'est nouveau, ça vient de sortir», a-t-il constaté. De source policière, on invite aussi à «prendre avec circonspection» le récit de cet «indic» qui «était aux abois et n'avait plus d'autre solution» que de se rendre. Neuf autres personnes sont poursuivies dans l'enquête sur la cocaïne du «36», dont l'épouse de Jonathan Guyot et cinq policiers

http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/07/2272182-vol-de-cocaine-au-quai-des-orfevres-un-indic-ecroue.html

samedi 6 février 2016

Mulhouse: De très jeunes braqueurs dévalisent un bar-tabac

Etrange activité périscolaire. Les policiers de Mulhouse, en Alsace, ont appréhendé plusieurs individus suspectés d’avoir braqué un bar-tabac, jeudi. Selon les DNA, les quatre garçons interpellés, tous mineurs, vont être mis en examen ce samedi.

Du travail de pros

Jeudi, en fin d’après midi, un bar-tabac a été la cible d’un braquage très « professionnel ». Un individu armé est entré dans le commerce pour se faire remettre la caisse, un autre surveillait l’entrée et, selon les témoins, plusieurs autres complices assuraient la surveillance des alentours. En quelques minutes, tout ce petit monde s’est envolé avec un butin de 400 euros en liquide.
C’est une patrouille de la BAC qui a pu interpeller rapidement deux individus alors que d’autres se sont enfuis à la vue des fonctionnaires. Serrées dans les menottes des policiers, les mains de deux mineurs de 13 ans qui avaient sur eux des billets provenant du braquage.

Quatre mineurs interpellés

Après interrogatoire, les fonctionnaires obtiennent le nom de celui qui aurait commis le braquage, lui aussi mineur. Âgé d’un peu plus de 14 ans, il a été arrêté dans la soirée en possession de billets et d’un sac que les témoins avaient décrits. Un quatrième individu, toujours mineur, s’est livré aux enquêteurs, vendredi.
Les quatre adolescents braqueurs devraient être déférés devant le parquet de samedi en vue d’une mise en examen pour vol à main armée.

http://www.20minutes.fr/strasbourg/1781295-20160206-mulhouse-tres-jeunes-braqueurs-devalisent-bar-tabac

Il fonce sur la voiture de police

Dix minutes folles. Tout commence au milieu de la nuit de jeudi à vendredi, à 0h50. Un équipage du commissariat d'Auch est en train d'effectuer un contrôle routier lorsqu'un conducteur, au volant d'une Citroën C3, refuse d'obtempérer. Le chauffeur, un Auscitain, chômeur, de 49 ans, prend alors la rue Camille Desmoulins à contresens. La course-poursuite à travers la ville débute. Pour le contrevenant, elle se terminera au commissariat, stoppé par les forces de l'ordre.
Le premier équipage de police appelle des renforts. Lorsque la seconde voiture de police se présente face à lui, le conducteur de la C3 aurait délibérément fait un écart pour foncer sur les policiers. Il faudra un coup de volant réflexe du policier pour éviter le choc. Lorsqu'ils poursuivent le chauffard qui prend la direction de la Place de la Libération, les policiers voient que leur compteur affiche 130 km/h. Ils s'aperçoivent que l'automobiliste veut prendre la direction de la place Denfert Rochereau, où ils repèrent un attroupement. Craignant que le chauffeur ne percute les jeunes rassemblés en ce jeudi soir, les policiers auraient alors coupé le rond-point de manière à fermer l'accès à la place… Là encore, il leur faudra un dernier coup de volant pour éviter la C3 qui, une nouvelle fois, veut percuter la voiture de police.

Le drame évité de peu

Le délinquant descend alors à vive allure la rue d'Etigny, prend la rue du Repos à contresens, toujours poursuivi par les forces de l'ordre. Arrivés à l'embranchement de la rue de l'Égalité et de la rue de Baran, les policiers voient le C3 arrêté à contresens, elle leur fait donc face. Au moment où les policiers sortent de leur voiture, le conducteur de la C3 démarre et percute le véhicule de police. Les forces de l'ordre auront tout juste eu le temps de rentrer dans la voiture… Tout le côté passager de la voiture des forces de l'ordre est abîmé par le choc. Le drame a été évité de peu. L'homme prend à nouveau la fuite, via le chemin de Lescat. Un léger virage à droite signera la fin de ces dix folles minutes. La C3 percute un talus, fait un tonneau et percute le mur extérieur d'une propriété. Le conducteur, conscient, qui ne s'est pas blessé dans l'accident, a terminé sa nuit en garde-à-vue. Il a été interpellé à 1 heure du matin. Il affichait un contrôle d'alcoolémie négatif mais était positif au cannabis. Il a été libéré hier après-midi et sera convoqué prochainement devant le Tribunal correctionnel d'Auch pour refus d'obtempérer, mise en danger de la vie d'autrui et conduite sous l'emprise de stupéfiants.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/06/2271334-il-fonce-sur-la-voiture-de-police.html

vendredi 5 février 2016

Sulfites: Les bonbons Bouteilles Bubble de marque Auchan rappelés

La chaîne de magasins Auchan lance un rappel pour des bonbons Bouteille Bubble, suivant un avis de la DGCCRF. La présence de sulfites, non mentionnées sur l’emballage, est évoquée. Ces additifs chimiques cachés dans l’alimentation, les médicaments, ou les cosmétiques pourraient provoquer des allergies.

Les produits retirés de la vente

Il s’agit de paquets de 250 grammes de la société Astra Sweet. Le numéro du lot est LTG5245, son numéro de référence 3596710347544, et sa date limite de consommation est le 31 mars 2017.
Selon Auchan, l’ensemble des produits a été retiré de la vente, mais certains d’entre eux ont été achetés avant la mesure de retrait. Auchan se met se met à la disposition des clients qui auraient des questions complémentaires au 03 5930 5930
http://www.20minutes.fr/sante/

Bias (47) : il tente de s'enfuir avec 3 800 euros de courses dans le Caddie

L'individu de 19 ans et l'un de ses complices ont été interpellés
Il était 13 h 50, ce jeudi, lorsqu'un jeune de 19 ans a tenté de quitter le supermarché Auchan avec un Caddie plein de 3 800 euros de lames de rasoirs et de matériel informatique, sans passer par la caisse.
Il a été attrapé par le service d'ordre, alors qu'un complice, âgé de 20 ans, qui l'attendait sur le parking, a été interpellé par la police appelée en renfort.
Seul un troisième homme, le conducteur d'une voiture qui attendait les deux autres, a pu s'enfuir. Résidant à Bordeaux, les deux individus ont été placés en garde à vue.
http://www.sudouest.fr/2016/02/05/bias-47-il-tente-de-s-enfuir-avec-3-800-euros-de-course-dans-le-caddie-2265203-3603.php

Il percute trois chevaux en pleine nuit sur la RD 930

Dans la nuit de mercredi à jeudi, à 1 h 30, un conducteur est entré en collision avec un groupe de six chevaux qui s'étaient échappés de leur enclos, en bordure de la RD 930 alors qu'il roulait vers Condom. Au volant de son petit fourgon, le conducteur de 28 ans, un Girondin, n'a pas pu éviter les animaux. L'accident s'est produit tout près du rond-point de La Huré. L'enquête n'a pas encore déterminé comment les animaux sont sortis de leur pacage. Dans le choc, son véhicule a subi de lourds dégâts. Les sapeurs pompiers d'Auch l'ont trouvé conscient, mais incarcéré au niveau des jambes dans les débris de la voiture. Considérée comme étant dans un état grave par les secours, la victime a été transférée vers l'hôpital d'Auch. Trois chevaux sont morts, euthanasiés par les services vétérinaires, et trois autres ont pris la fuite. Les gendarmes d'Auch ont reçu le renfort de la brigade de Vic-Fezensac pour assurer la sécurité de la route.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/05/2270541-percute-trois-chevaux-pleine-nuit-rd-930-930.html

Marseille : deux morts dans un probable règlement de comptes

Deux hommes, âgés d'une vingtaine d'années, ont été tués de plusieurs balles de gros calibre jeudi soir dans les quartiers Est de Marseille. Les auteurs de la fusillade ont pu prendre la fuite.
Deux hommes ont été tués jeudi soir dans une voiture, retrouvée criblée de balles sur le parking d'un centre commercial dans l'est de Marseille, a-t-on appris de source policière. Le ou les tireurs sont parvenus à prendre la fuite après avoir fait feu, vers 21h30, avec des armes de deux calibres différents, 7,62 et 12, le mode opératoire évoquant un probable règlement de comptes, a précisé cette source. Contacté par l'AFP, le parquet de Marseille a confirmé ce double homicide, sans pouvoir donner plus d'éléments dans l'immédiat.
Selon les premières constatations, les deux hommes étaient en train de dîner de hamburgers, l'un assis sur le siège passager, l'autre sur le siège conducteur de leur petite Peugeot, lorsqu'ils sont morts, avant l'arrivée des secours, sur le parking du centre commercial Grand V - La Valentine. Ils n'ont pas encore été formellement identifiés par les enquêteurs. L'un d'entre eux semble être âgé d'environ 25 à 30 ans, a précisé la source policière. La police judiciaire a été chargée de l'enquête et les premières constatations étaient toujours en cours vers minuit. Les enquêteurs relevaient le maximum d'indices avant même d'ouvrir la voiture, et n'étaient donc pas en mesure de préciser d'emblée si les victimes étaient par exemple armées.
Marseille, théâtre de règlements de comptes

Marseille et sa région sont régulièrement le théâtre de règlements de comptes mortels, souvent liés au trafic de drogue ancré dans certains quartiers. Le 13 janvier, un jeune homme de 20 ans avait été tué en pleine nuit par des tirs de kalachnikov, premier règlement de comptes de l'année 2016 dans la ville. Mercredi dernier, un adolescent de 16 ans a été tué de plusieurs coups de couteau dans une cité, dans des circonstances qui n'ont pas encore été totalement éclaircies.
Les règlements de comptes ont fait 13 morts à Marseille en 2015, selon des chiffres du ministère de l'Intérieur. Dans les Bouches-du-Rhône, il y a en moyenne deux douzaines de règlements de compte et tentatives par an, selon une source policière. 80 à 85% de ces affaires sont liées au trafic de stupéfiants et 40 à 45% d'entre elles sont élucidées, selon la même source.
 

jeudi 4 février 2016

A 39 : un camion de matières dangereuses accidenté

18 heures , mercredi soir. Les pompiers du Jura sont alertés pour un accident de poids-lourd sur l'autoroute A 39 à hauteur de Foucherans dans la direction de Dole. Le conducteur du camion pour une raison indéterminée  a perdu le contrôle et la citerne qu'il transportait s'est couchée en travers de la voie. Cette dernière contenait des produits chimiques, du carbure de calcium, une matière pouvant s'avérer dangereuse en cas de contact avec de l'eau. Un dispositif de sécurité impressionnant a aussitôt été mis en place, et l'autoroute a été coupée dans les deux sens. Des centaines d'automobilistes ont été bloqués une partie de la soirée dans un bouchon qui a atteint jusqu'à 4 kilomètres. La fuite a été colmatée avec de l'azote. L'intervention placée sous haute protection a duré presque dix heures. Les automobilistes n'ont pu sortir du "piège" que vers 1 heure ce matin après la fin des opérations de relevage de la citerne , tandis que la circulation n'a été rétablie totalement qu' à 4 heures ce jeudi.  Bilan : une grosse pagaille, et trois  blessés, dont deux graves,  causés par la collision de 4 véhicules qui ont percuté le poids-lourd au moment de l'accident. Ils ont été transportés au CHU de Dijon. Une cinquantaine de sapeurs pompiers du Jura et de Côte d'or ont été mobilisés par cette opération.  
http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/jura/39-un-camion-de-matieres-dangereuses-accidente-920431.html

Compiègne: explosion de deux véhicules

A Compiègne, dans l'Oise, deux véhicules ont brûlé puis explosé. L'un des véhicule appartient au Samu social. Les pompiers sont sur place. Un journaliste du Courrier picard, dans l'Oise évoque un "possible acte criminel". Il n'y a pas de blessés.http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mercredi 3 février 2016

Ivre, elle jette le cosy avec son bébé contre un mur

La mère de sept enfants, âgée de 40 ans, a été placée en garde à vue.

Une habitante de Belfort en est restée d'abord abasourdie. Penchée à la fenêtre de son balcon, elle a vu une mère de famille jeter le cosy qui contenait son bébé contre le mur d'une habitation, puis contre la portière d'une voiture, selon l'Est Républicain. Furieuse, la femme a ensuite secoué l'enfant. La riveraine s'est précipitée pour mettre fin aux  sévices et emmener ensuite le bébé de cinq mois chez elle, avant d'appeler la police.
La nourrisson, pris de vomissements, ne gardera pas de séquelles physiques. Un miracle. La coque en plastique a visiblement amorti les chocs avec efficacité.  
La mère a quant à elle été placée en garde à vue. Mère de sept enfants, elle était passablement énervée et ivre (1,16g/l de sang). Elle devra s'expliquer en mars de son geste devant un tribunal. Le bébé a été placé afin d'être soustrait aux coups
http://www.ledauphine.com/france-monde/2016/02/03/ivre-elle-jette-le-cosy-avec-son-bebe-contre-un-mur

Corps retrouvé à Mougon (Deux-Sèvres) : le mystère reste entier après l'autopsie

Les jours passent et les causes de la mort du jeune homme de 16 ans originaire de Mougon restent encore inconnues. Les examens effectués mardi à l'institut médico-légal de Poitiers n'ont rien donné.
"Des tests toxicologiques pourraient venir éclaircir cette affaire d'ici 15 jours", indique Laurence Lepez, vice-procureure de Niort. Les gendarmes reçoivent la famille du défunt ce matin. Un entretien qui permettra, peut-être, d’en savoir plus sur son profil.

Le corps du jeune homme avait été retrouvé sur un chemin de terre entre Mougon et Gascougnolles dans les Deux-Sèvres. Il ne présentait aucune trace de coups ou de quelconques interventions extérieures. Les enquêteurs écartent donc la piste criminelle.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/vienne/poitiers/corps-retrouve-mougon-deux-sevres-le-mystere-reste-entier-apres-l-autopsie-919729.html

Noisy-le-Sec: Les élèves d'un groupe scolaire contaminés par des rats?

Une étrange maladie de peau se propage au sein du groupe scolaire Langevin-Bleuets à Noisy-le-Sec. Selon les informations du Parisien, cinq élèves de maternelle ont présenté il y a quelques mois une auréole rouge, cloquée et purulente sur le visage ou le corps. S’il ne reste aujourd’hui que des cicatrices, les parents sont persuadés que les enfants ont été contaminés par des rats.
>>A lire aussi. Epinay-sur-Seine : Les rats envahissent un immeuble d’habitation

Des « draps souillés par leurs déjections »

« Cela provoque une forte démangeaison », décrit Ferroudja Abbas, mère d’une petite fille de 4 quatre ans, en cours de traitement d’un « herpès circiné », relate le quotidien. « Elle a été contaminée en décembre », explique-t-elle précisant que « des parents d’élèves se sont aussi mis en relation auprès d’un dermatologue pour effectuer un bilan de santé lié à cette situation ».
Selon les parents, des rats auraient élu domicile dans le placard du fond où sont stockés les draps du dortoir. « Ils ont plusieurs fois été retrouvés souillés par leurs déjections », témoignent les parents d’élèves. Jeudi dernier, « des crottes ont encore été découvertes sur des jouets, du matériel et même le bureau d’une maîtresse de petite section », poursuit l’un d’entre eux.
De son côté, le maire (UDI) de Noisy-le-Sec, Laurent Rivoire dément ces informations. « Nous avons demandé l’avis d’un médecin qui ne fait pas le lien entre ces mycoses et la présence d’un rat ». Mais selon Le Parisien, les parents demandent toutefois une fermeture temporaire de l’école pour réaliser une désinfection intégrale.
http://www.20minutes.fr/paris/1779115-20160203-noisy-sec-eleves-groupe-scolaire-contamines-rats

A la recherche de Sandra, une mère de famille disparue depuis 8 jours

Une mère de famille de 49 ans a disparu depuis une semaine près de Saint-Céré. Sa voiture a été retrouvée dans une rivière. Mais pas de traces de Sandra…
Aspirée par le brouillard. Ou par les eaux de la Bave. Depuis mercredi dernier, on est sans nouvelle de Sandra Dos Santos Fernandez, cette grande (1,80 m) et belle femme de 49 ans, à la chevelure flamboyante et aux épaules largement tatouées. On perd sa trace dans une rivière caillouteuse entre Saint-Céré et Latouille Lentillac, au cœur d'une verte vallée lotoise, veillée par des moutons immobiles et des murets de pierre sèche. Mardi, elle avait passé la soirée chez un ami de longue date à Carennac. Vers 22 heures, elle prévient son compagnon qu'elle rentre chez elle à Gorses, à 30 km de là. Peu après 23 heures, elle envoie un texto : il y a un gros brouillard et elle va rouler doucement. Cette route qui serpente au-dessus du gargouillis glacial de la Bave, elle la connaît par cœur. Pourtant, au bord d‘un virage, la Clio 2 bascule, dégringole d'une quinzaine de mètres et pique du nez dans l'eau glaciale…
Ce n'est que le lendemain qu'une automobiliste aperçoit le véhicule échoué dans le torrent. Gendarmes et pompiers arrivent. Pas de traces de Sandra. La portière est ouverte, son manteau est bien là. Et les eaux coulent indifférentes. On lance les chiens, l'hélicoptère. Rien. Ni personne…
Cela faisait une dizaine d'années que Sandra, originaire de Belgique, avait choisi le Lot. «Elle y avait passé des vacances avec sa meilleure amie, raconte sa fille Anouchka, 22 ans. Elle a voulu s'installer ici. Elle adorait la campagne. On apprécie la France !»
Vivent avec elle trois de ses quatre enfants. L'aîné, Jasmine est restée outre Quiévrain, mais Anouchka, Orlando, 21 ans et Tristan, 16 ans sont devenus Lotois.
À la nouvelle de sa disparition, la sœur et la fille aînée sont venues de Belgique. Ces derniers jours, toute cette famille s'est tristement rassemblée pour arpenter les berges de la Bave, le cœur rempli d'espoir.
Car ce qui est terrible dans cette histoire, c'est qu'il n'y a pas de certitude : Sandra s'est-elle noyée ? A-t-elle été victime d'une hydrocution ? Il y a 1,60 m d'eau à cet endroit et des branches pour s'accrocher. Mais était-elle sous le choc, qui aurait pu lui faire perdre la mémoire ? A-t-elle pu remonter sur la route et faire une mauvaise rencontre ? S'est-elle perdue dans les bois de chênes déplumés ? Conduisait-elle elle-même la voiture lors de l'accident ?
La fugue ? Le suicide ? Sa famille ne veut pas y croire.
«Ma mère, c'était une battante, assure Anouchka. Jamais elle n'aurait baissé les bras. Comme tout le monde, elle avait ses soucis, mais elle a toujours fait face.»
«C'était une femme très chaleureuse, assure sa sœur. Elle était ouverte à tous, avec un cœur gros comme ça.»
Depuis un peu plus d'une année, Sandra travaillait à l'Hôtel du Tourisme, à Latronquière. Elle faisait le ménage, et donnait à l'occasion un coup de main en cuisine.
«Elle avait comme tout le monde à l'occasion des problèmes d'argent, poursuit sa sœur, mais jamais elle n'aurait abandonné ses enfants.»
«Elle ne nous aurait jamais laissés ! confirme son fils Orlando, 21 ans. C'était une femme forte, jamais non plus elle n'aurait pensé au suicide, elle était toujours positive, battante, faisant face à ses problèmes avec courage.»
Toute la famille de Sandra s'est resserrée. «On essaye de se réconforter les uns les autres et on garde l'espoir. Moi, j'aimerais savoir, même s'il lui est arrivé quelque chose : ne pas savoir est insupportable…» soupire Orlando.
Hier, des gendarmes plongeurs venus du Littoral ont ratissé la Bave, longuement, minutieusement. Ils ont trouvé près du lieu de l'accident, le porte-monnaie de Sandra. Un porte-monnaie devenu porte-espoirs de toute cette famille.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/03/2269377-recherche-sandra-mere-famille-disparue-depuis-8-jours.html

mardi 2 février 2016

Aveyron : la mère et la fille séquestrent et torturent un homme de 30 ans dans un gîte

Une mère et sa fille ont été placées en garde à vue puis présentées à un juge du pôle de l'instruction de Montpellier pour avoir séquestré et torturé un jeune homme de 30 ans dans un gîte du village d'Ayssènes dans l'Aveyron, rapporte Midi-Libre ce mardi.

Les trois personnes ne sont pas originaires de la région et séjournaient dans ce gîte. Il semble que la soirée très alcoolisée a mal tourné. Les faits se sont déroulés en milieu de semaine dernière. Les deux femmes (60 et 30 ans) ont d'abord voulu voler de l'argent au jeune homme puis l'ont séquestré et même torturé, la victime ayant notamment reçu des coups de couteau à la poitrine.

Prises de remords ou en panique, ce sont elles qui ont ensuite prévenu les secours, qui ont eux-mêmes alertés la gendarmerie. Placées en garde à vue, les deux femmes ont ensuite été mises en examen et placées en détention dans le cadre d'une information judiciaire ouverte pour "séquestration, torture et actes de barbarie".
Le jeune homme a été hospitalisé à Toulouse et ses jours ne seraient plus en danger.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/aveyron/aveyron-la-mere-et-la-fille-sequestrent-et-torturent-un-homme-de-30-ans-dans-un-gite-918909.html

Les recherches se poursuivent pour retrouver le jeune Landais emporté par l'océan

Morgan Gamelin a disparu mercredi dernier en tentant de sauver son chien pris par une vague, à Labenne
Les recherches se sont poursuivies lundi toute la journée, en vain, afin de retrouver le corps de Morgan Gamelin, disparu mercredi dernier à Labenne dans l'océan déchaîné, en tentant de sauver son chien. Un témoin avait sonné l'alerte. Les secours s'étaient organisés, avec notamment l'intervention d'un bateau et d'un jet-ski de la SNSM de Capbreton. Les vagues avaient été évaluées par le patron du bateau à cinq mètres de hauteur, mais la houle était particulièrement longue, ce qui décuple la puissance des déferlantes.
C'est sans doute entre deux séries de calme trompeur que le drame s'est noué. Avec une eau à 13 °C et des vagues aussi fortes, évoluer dans l'océan tient de la survie, même pour un surfeur expérimenté. Le jet-ski de la SNSM lui-même n'avait pas pu se frayer un chemin pour tenter de retrouver le malheureux. Comme nous l'avons évoqué la semaine passée, une chaîne de solidarité s'est créée autour de la famille du jeune homme, relayée sur les réseaux sociaux
Et chaque jour dès l'aube, des proches et amis arpentent le littoral du sud au nord, à pied, en moto, en quad, prenant la suite des gendarmes et des policiers municipaux et sapeurs-pompiers du centre de secours de Capbreton.
Il y a trois ans, presque jour pour jour, Marie, une jeune fille de Saint-André-de-Seignanx, avait été emportée près des blockhaus dans des conditions similaires. Son corps avait été rendu par l'océan, huit jours après.
http://www.sudouest.fr/2016/02/02/faits-divers-2261399-4584.php

Vol à l'arraché : le complice est âgé de 15 ans seulement

Les deux auteurs du vol à l'arraché commis à Lavelanet vendredi, place de l'Europe, sont connus. Le premier, âgé de 30 ans, a été incarcéré en attendant de comparaître devant la justice. Le second est âgé de 15 ans seulement. Il s'est livré dimanche matin.
Les deux auteurs présumés du vol à l'arraché commis ce vendredi, vers 16 h 20, place de l'Europe, à Lavelanet, sont désormais identifiés. Le premier avait été interpellé sur-le-champ, grâce à l'intervention de trois témoins de la scène (lire ci-dessous). Le deuxième, un adolescent âgé de 15 ans, identifié par les enquêteurs, «s'est présenté ce dimanche matin à la gendarmerie et a reconnu sa participation au vol», indique Karline Bouisset, procureur de la République. Le jeune homme a été entendu par les enquêteurs puis remis en liberté. Il est convoqué devant le juge des enfants le 17 février prochain, afin de se voir notifier sa mise en examen dans ce dossier.

Le plus âgé des agresseurs a été placé en détention

L'aîné des deux agresseurs, âgé de trente ans, a été pour sa part incarcéré ce dimanche, après avoir été convoqué devant le juge des libertés et de la détention. Et ce, malgré son «absence d'antécédents judiciaires», insiste la procureur de la République. La magistrate indique que cette décision a été prise conformément aux «annonces faites par le parquet dans le cadre du groupe local de traitement de la délinquance créé le 22 janvier dernier pour le pays d'Olmes». La procédure témoigne incontestablement d'une volonté de fermeté clairement affichée par le parquet de Foix.
L'homme comparaîtra ce mardi après-midi devant le tribunal correctionnel, à Foix, pour répondre de cette agression.

Interpellé grâce au courage de témoins

Il avait été interpellé vendredi, alors qu'il tentait de prendre la fuite après l'agression de la malheureuse victime, âgée de 78 ans, qu'ils avaient jetée au sol pour lui arracher son sac. Un premier témoin avait réussi à le ralentir dans sa fuite. Puis l'homme avait été intercepté par deux pompiers lavelanétiens qui partaient en intervention et qui avaient réussi à le maintenir jusqu'à l'arrivée des gendarmes de Lavelanet. L'homme n'est arrivé que depuis un mois en pays d'Olmes et n'avait jamais fait parler de lui. Quant au jeune âge de son complice, il peut surprendre. Les dernières statistiques de la délinquance, publiées en fin de semaine dernière, indique cependant une forte progression de la délinquance des mineurs. Notamment en ce qui concerne les vols avec violence. Lavelanet n'échappe pas à la tendance
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/02/2268601-vol-arrache-complice-est-age-15-ans-seulement.html

Alexandra Lange : « Mon mari menaçait de m’enterrer dans la cave »

Au téléphone, la voix est fébrile. Des blancs, des hésitations. Le malaise est palpable. « Je suis en pleine reconstruction… Je suis fatiguée. » L’ex-femme battue Alexandra Lange, dont l’histoire a été racontée dans un téléfilm, L’Emprise , et dans un livre*, tente peu à peu de redonner un sens à sa vie. « Ça prendra le temps que ça prendra. Les démons sont toujours là mais ils sont sages. Il ne se passe pas un jour sans que j’y pense. »
Soutien de la demande de grâce pour Jacqueline Sauvage, cette trentenaire, victime de violences conjugales entre 1997 et 2009, a été acquittée par la cour d’assises du Nord, en 2012, du meurtre de son mari. Un coup de couteau à la gorge, la nuit du 18 au 19 juin 2009. « C’était lui ou moi », avait-elle déclaré lors de son procès. « Il s’est jeté sur moi, il m’étranglait. Nous étions dans la cuisine, j’ai pu saisir un couteau… » Elle bafouille : « J’étais encore toute engourdie de ce qui venait de se produire. Je ne l’ai pas vécu comme un soulagement. »

« Je tremblais comme une feuille »

Pendant toutes ces années de souffrance, de coups et d’humiliations, Alexandra Lange s’est surtout sentie isolée. « Les gens s’en foutaient de mon cas. On me disait “si t’es malheureuse, t’as qu’à partir”. » Ce qui s’avérait beaucoup plus compliqué. Mais c’est arrivé, un jour. Elle s’est enfuie. « Il n’y avait aucune place dans aucun des centres d’accueil du Nord-Pas-de-Calais. J’ai dû revenir. »
Au commissariat de police, elle « tremblait comme une feuille devant le flic ». « J’avais la trouille que mon mari connaisse ma démarche et qu’en rentrant, je m’en mange une. » Elle n’a pas trouvé non plus le soutien espéré. A la place, on lui renvoyait des phrases comme : « ça ira mieux ce soir sous la couette ». « Je ne devais pas être assez ensanglantée pour eux, il aurait peut-être fallu que je sois à la morgue… », continue-t-elle tristement.
La mort, elle l’a vue de très près au cours de ces 12 années de calvaire. « Mon mari savait où frapper. Un jour, il m’a dit “je t’enterrerai à la cave sous une dalle en béton”. »

Elle a récupéré ses enfants

Aujourd’hui, Alexandra Lange retrouve peu à peu une « vraie » vie de famille, toujours dans le nord de la France. Elle a récupéré ses quatre enfants dont trois ados en septembre dernier. « On s’énerve, on crie, on rit. J’essaye de me faire entendre. Il paraît que je ne suis pas du tout autoritaire. » Ensemble, ils suivent une thérapie familiale éreintante.
Pour se distraire, Alexandra Lange, pour l’instant sans emploi sort avec des copines, fait du sport et prend des leçons de conduite. Sa voix s’illumine pour la première fois depuis le début de l’entretien : « J’essaie de passer mon permis de conduire, mais ça fait très longtemps que je suis dessus… »
Elle a aussi rencontré quelqu’un, depuis deux ans. Maintenant, Alexandra Lange se bat pour « éradiquer ce fléau ». Elle se dit « soulagée » pour Jacqueline Sauvage. « La justice n’avait pas reconnu la légitime défense dans son cas. Pourtant ça l’était. » Et de conclure : « Que j’ai été acquittée ou que Jacqueline Sauvage ait été graciée partiellement, ça n’enlève pas la réalité qu’on va vivre avec ça toute notre vie. »
(*) Acquittée, Je l’ai tué pour ne pas mourir , aux éditions Michel Lafon.