Ca suffit les jérémiades. C'est en substance ce qu'a voulu signifier Bruno Le Roux , président du groupe PS à l' Assemblée nationale , en demandant vendredi au patronat d'"arrêter de pleurnicher".
Sur Europe 1, le député s'est indigné: "j'ai trouvé quelque peu indécent, en tout cas inacceptable, le comportement des chefs d' entreprises avec leurs cartons jaunes" brandis symboliquement à l'adresse du chef de l'Etat, mardi à Lyon par des patrons réunis à l'appel du Medef et de la CGPME. "Et puis M. Gattaz (Pierre Gattaz, président du Medef, ndlr) nous dit: nous pourrions demain créer un million d'emploi", a poursuivi l'élu de Seine-Saint-Denis. "Mais à quelles conditions ? D'une meilleure compétitivité? Nous le faisons. D'une réforme du marché du travail ? Nous le faisons. D'une fiscalité qui puisse être discutée avec le patronat? Nous le faisons".
D'où sa demande appuyée : "Je dis au patronat qu'il faut arrêter de pleurnicher, il faut arrêter ces grandes assemblées". "Je souhaite qu'il soit au côté du gouvernement et non pas dans une posture rétrograde".
Sur Europe 1, le député s'est indigné: "j'ai trouvé quelque peu indécent, en tout cas inacceptable, le comportement des chefs d' entreprises avec leurs cartons jaunes" brandis symboliquement à l'adresse du chef de l'Etat, mardi à Lyon par des patrons réunis à l'appel du Medef et de la CGPME. "Et puis M. Gattaz (Pierre Gattaz, président du Medef, ndlr) nous dit: nous pourrions demain créer un million d'emploi", a poursuivi l'élu de Seine-Saint-Denis. "Mais à quelles conditions ? D'une meilleure compétitivité? Nous le faisons. D'une réforme du marché du travail ? Nous le faisons. D'une fiscalité qui puisse être discutée avec le patronat? Nous le faisons".
D'où sa demande appuyée : "Je dis au patronat qu'il faut arrêter de pleurnicher, il faut arrêter ces grandes assemblées". "Je souhaite qu'il soit au côté du gouvernement et non pas dans une posture rétrograde".
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