D'après ce sondage
de l'Ifop*, seules 53% des personnes interrogées souhaitent "que le
gouvernement propose un projet de taxe assez similaire tout en tenant compte des
remarques du Conseil Constitutionnel, car, en période de crise, il est juste que
les personnes les plus riches contribuent fortement par leurs impôts au
redressement des comptes publics".
En revanche, 47% des sondés attendent que le gouvernement "abandonne ce projet car un niveau d'imposition trop élevé pousse les personnes les plus fortunées et des entrepreneurs à quitter notre pays ".
L'institut note que cette promesse de François Hollande est particulièrement clivante, puisque 81% des sympathisants PS s'y disent favorables, alors que 84% des partisans de l'UMP font part de leur hostilité.
Les sympathisants du Front national apparaissent divisés sur cette question : 44% sont en faveur d'un nouveau projet de loi contre 56% qui penchent pour un abandon.
*Sondage réalisé du 29 au 31 janvier auprès d'un échantillon de 1.005 personnes représentatives de la population française interrogées par internet et selon la méthode des quotas.
En revanche, 47% des sondés attendent que le gouvernement "abandonne ce projet car un niveau d'imposition trop élevé pousse les personnes les plus fortunées et des entrepreneurs à quitter notre pays ".
Une promesse particulièrement
clivante
L'Ifop rappelle qu'en septembre, 60% des Français étaient favorables à la
taxation à 75%, selon un sondage du même institut pour le quotidien Sud-Ouest.
L'Ifop y voit l'effet de la censure
du Conseil constitutionnel et du départ de Gérard
Depardieu à l'étranger pour raisons fiscales. L'institut note que cette promesse de François Hollande est particulièrement clivante, puisque 81% des sympathisants PS s'y disent favorables, alors que 84% des partisans de l'UMP font part de leur hostilité.
Les sympathisants du Front national apparaissent divisés sur cette question : 44% sont en faveur d'un nouveau projet de loi contre 56% qui penchent pour un abandon.
*Sondage réalisé du 29 au 31 janvier auprès d'un échantillon de 1.005 personnes représentatives de la population française interrogées par internet et selon la méthode des quotas.
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