"Nous ne sommes pas pressés (...) Nous attendons de voir si on peut transformer la peine de lapidation en pendaison et dès qu'on aura la réponse, nous appliquerons la peine", a ajouté Malek Ajdar Sharifi.
"Tout est possible"
Sakineh Mohammadi Ashtiani a été condamnée à mort en 2006 pour implication dans le meurtre de son mari, avec l'aide de son amant, et à la lapidation pour adultère. La première peine a été ramenée à 10 ans de prison en appel en 2007, mais la seconde a été confirmée la même année par une autre cour d'appel. La justice iranienne a suspendu en juillet 2010 la peine de lapidation en attendant un nouvel examen du dossier.
Interrogé en janvier 2011 sur la possibilité d'annuler la peine de lapidation prononcée contre Sakineh Mohammad Ashtiani, Malek Ajdar Sharifi avait alors estimé que "tout est possible", relevant certains "doutes" quant aux "preuves" dans le dossier.
L'affaire de Sakineh Mohammadi Ashtiani a suscité une grande émotion dans les pays occidentaux, qui avaient demandé à l'Iran de renoncer à l'application de la peine de lapidation.
Interrogé en janvier 2011 sur la possibilité d'annuler la peine de lapidation prononcée contre Sakineh Mohammad Ashtiani, Malek Ajdar Sharifi avait alors estimé que "tout est possible", relevant certains "doutes" quant aux "preuves" dans le dossier.
L'affaire de Sakineh Mohammadi Ashtiani a suscité une grande émotion dans les pays occidentaux, qui avaient demandé à l'Iran de renoncer à l'application de la peine de lapidation.
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