
Les deux enfants ont été égorgés par leur père samedi près de Lyon. "Une cellule a été mise en place dès ce (mardi) matin dans l'école pour accueillir les élèves et les enseignants. Elle est composée de médecins et de psychologues", a indiqué à l'AFP une porte-parole du rectorat, précisant seulement que l'école se trouvait en Isère.
"La cellule restera le temps qu'il faut selon les besoins des enfants et des enseignants", a-t-elle ajouté. La fillette de cinq ans et son frère de dix ans vivaient avec leur mère en Isère à la suite d'un divorce conflictuel concernant leur garde. Leur père, un Britannique de 48 ans, résidant à Saint-Priest, dans la banlieue de Lyon, a été mis en examen lundi pour "homicids volontaires". C'est en venant rechercher ses enfants, samedi en fin d'après-midi que la mère, aide-comptable, aurait croisé son ex-mari sortant de chez lui, les vêtements tachés de sang. Interpellé samedi soir dans une rue de Lyon, le père a avoué dimanche en garde à vue avoir tué ses deux enfants.
"La cellule restera le temps qu'il faut selon les besoins des enfants et des enseignants", a-t-elle ajouté. La fillette de cinq ans et son frère de dix ans vivaient avec leur mère en Isère à la suite d'un divorce conflictuel concernant leur garde. Leur père, un Britannique de 48 ans, résidant à Saint-Priest, dans la banlieue de Lyon, a été mis en examen lundi pour "homicids volontaires". C'est en venant rechercher ses enfants, samedi en fin d'après-midi que la mère, aide-comptable, aurait croisé son ex-mari sortant de chez lui, les vêtements tachés de sang. Interpellé samedi soir dans une rue de Lyon, le père a avoué dimanche en garde à vue avoir tué ses deux enfants.
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